Datavisualisation : quelles solutions pour quels usages ?


Nous avons tous déjà passé des heures à essayer d’analyser des données à partir de tableaux Excel aussi interminables que mal fichus. Pour en tirer quoi ? Quelques indicateurs approximatifs sur la rentabilité d’une offre ou sur l’efficacité d’un service, sous les regards dubitatifs de vos collègues ou collaborateurs. Il est temps d’abandonner ces méthodes et de passer à la datavisualisation, qui permet de mettre en scène les données que vous possédez en masse et de les orchestrer par le biais d’objets graphiques simples et esthétiques. Et ainsi diffuser un message facilement compréhensible auprès de votre auditoire. Rappelons, en effet, que près de 90% des informations transmises au cerveau sont visuelles et 80% de l’information retenue est également visuelle.

La dataviz (oui, appelez-la aussi de cette manière !) permet ainsi de mieux communiquer au sein d’un service ou d’une entreprise, et de mettre les données entre les mains de tous les collaborateurs, sans qu’ils aient nécessairement besoin d’un bagage technique. Très présente dans la presse et les médias en général depuis des nombreuses années, la datavisualisation se fait aujourd’hui une place de choix au sein des services financiers, commerciaux, juridiques, RH et marketing. De quelle manière concrètement ? Et pour quels bénéfices ? C’est justement ce que nous allons voir dans ce supplément.

Les podcasts d'Archimag
La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.