Comment bâtir une stratégie de KM efficace à l'heure de la Digital Workplace et du Travail Hybride ?


Au moment où bon nombre d’organisations ont du mal à recruter et à trouver les compétences qu’elles recherchent, la question de la gestion et de la capitalisation des connaissances devient prégnante. Mais comment capter ces connaissances ? Qu’il s’agisse d’entretiens, de vidéos, de notes ou de textes, quelle que soit la forme, cette collecte est essentielle pour passer, à terme, de la connaissance à la compétence. 

Si la crise sanitaire a eu un effet positif, c’est notamment d’avoir développé la culture du partage de l’information et du collaboratif, que les organisations appelaient jusqu’à présent de leurs vœux, sans réel succès. Reste qu'aujourd'hui, au gré des départs en retraite et des changements radicaux de carrière, certaines expertises et les connaissances qui s’y rattachent sont en voie de disparition. L’expertise étant de plus en plus complexe et de plus en plus rare, les organisations ont tout intérêt à mettre en place des dispositifs pour collecter ces connaissances, les structurer et les partager. C’est, pour elles, une forme de résilience. 

Or, pour que cette opération soit couronnée de succès, les organisations doivent impérativement intégrer cette gestion des connaissances dans leurs pratiques quotidiennes, et non plus, la considérer comme une brique isolée. Heureusement, grâce à la Digital Workplace, cette intégration est désormais possible. D’autant qu’il y a un vrai ROI derrière. Combien d’organisations perdent encore un temps précieux à réinventer des éléments qui existent déjà…

Voilà pourquoi il est urgent de les intégrer dans la Digital Workplace et de les mettre en avant au sein de parcours digitaux au service des collaborateurs ou des métiers (intégration RH, formation, conduite de projets, etc.). Sans oublier de les faire vivre, car une base de connaissances ne doit jamais être figée.

Les podcasts d'Archimag
Le Syndicat intercommunal d'énergies de Maine-et-Loire (SIÉML) s’est lancé dans un grand projet d’archivage électronique en 2023. L’opportunité de réduire l’impact carbone tout en optimisant les processus est apparue au cours du projet. Agnès Arendo, archiviste et déléguée à la protection des données du SIÉML, revient sur la mise en route et les grandes étapes de ce chantier.