Les AD 14 font appel à la plateforme Flourish pour offrir une interface dynamique aux internautes qui peuvent découvrir en un clin d'œil les fonds privés qui y sont conservés.
L’association des archivistes français monte au créneau pour rappeler l'obligation de récolement des archives aux équipes sortantes.
Mieux qu’un slogan, le storytelling renforce le capital stratégique que constitue l’identité de marque. En la matière, et au-delà de la simple conservation, les archives ont un rôle à jouer : en communication externe, elles illustrent les valeurs historiques, les jalons fondateurs et l’évolution pour alimenter un récit patrimonial puissant ; en interne, elles entretiennent une histoire collective pour fédérer, stimuler le sentiment d’appartenance et attirer les talents. Mais qui pilote cette démarche ? Et à l’aide de quels outils ? Faut-il constituer une équipe dédiée ou faire appel à une agence spécialisée ? Un dossier pour relever les défis de la valorisation de la mémoire des entreprises !
Certaines entreprises choisissent la voie patrimoniale pour fédérer leurs équipes et recruter leurs nouveaux collaborateurs. Loin d’être une nostalgie, la mémoire des marques est aussi un actif qui permet d’innover.
Raconter l’histoire d’une organisation pose une question clé : mieux vaut-il porter ce projet en interne ou faire appel à des experts pour structurer et valoriser ce storytelling ? Entre authenticité, continuité et efficacité, le véritable enjeu est de trouver le juste équilibre pour faire des archives et de la mémoire un récit vivant, fédérateur et stratégique.
Est-il bien raisonnable pour les entreprises d’archiver les messages qu’elles publient sur les réseaux sociaux ? La réponse tient en un mot : non. Elles n’en ont ni l’obligation légale, ni probablement les moyens. Mais il existe des outils pour procéder à une collecte ciblée des contenus les plus représentatifs et les valoriser.
Archimag donne la parole à Anna Tible, maîtresse de conférences en Information-Communication à l’Université Paris 8, membre du Centre d’études sur les médias, les technologies et l’internationalisation (CÉMTI) et autrice de la thèse "Les gardiennes du temple : la profession de documentaliste audiovisuel en France, de 1952 à 2017".
