L'encyclopédie collaborative constate une importante chute de son audience et déplore le siphonnage de ses pages par l'IA générative et les réseaux sociaux.
L'éditeur de solutions de veille adopte le statut de SCIC et ouvre la voie à une gouvernance multi-collèges associant salariés, clients et producteurs d'information.
L'intelligence artificielle représente-t-elle une menace pour les veilleurs, ou au contraire un formidable outil au service de la productivité et de l'efficacité ? Cette vaste question sera au cœur de la prochaine demi-journée Archimag dédiée à la veille, qui se tiendra le 20 novembre au matin. Au programme : 5 conférences (sous forme de webinaires) au cours desquels experts du marché et éditeurs de solutions se relaieront pour partager leurs conseils et des cas d'usages concrets.
Le site officiel de l'administration française change d'adresse et arbore une nouvelle identité visuelle.
Lorsque des professionnels de l’information ou de la communication créent des produits d’information diffusés hors de l’entreprise, il est conseillé de leur donner un nom, qui sera, si possible, déposé en marque.
Bibdoc centralise l’accès à l’ensemble de ses ressources documentaires, physiques ou numériques, issues des centres de documentations et bibliothèques du ministère.
Destinée aux étudiants mais aussi aux professionnels de la veille, cette formation se déroule sur une période de quatre mois à paris et en distanciel.
![veille-ia-generative-retour-experience](https://www.archimag.com/sites/archimag.com/files/styles/taille_standard__400_/public/web_articles/image/veille-intelligence-artificielle-generative-pour-repondre-besoins-metiers.jpg?itok=ypGiqpY3 ""L’IA n’impose rien : elle suggère, et c’est au professionnel de valider, structurer, interpréter", explique Bernard Strainchamps. (DC Studio/Freepik)")
![communique-presse-certifie-nouvelle-arme-anti-fake-news](https://www.archimag.com/sites/archimag.com/files/styles/vignette/public/web_articles/image/cp-certifie-nouvelle-arme-anti-fake-news.jpg?itok=Im0-EpRP "Pour Wahiba Bourgou-Felix, "la désinformation représente un risque croissant pour la réputation des marques, la sécurité des données et la fiabilité des échanges, il devient essentiel de garantir l’authenticité des documents diffusés". (Freepik/Flowo)")
