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Facture électronique : c’est déjà rentable

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    Des données et des processus : voilà ce qui résume une facture électronique. (Freepik)
  • Faut-il laisser courir le calendrier de la facture électronique ? Si un report des délais réglementaires vient d’être accordé aux entreprises pour l’adopter, celles-ci ont pourtant intérêt à partir à point, c’est-à-dire maintenant. Car la facture électronique est synonyme d’efficacité et de rentabilité.

    Des données et des processus : voilà ce qui résume une facture électronique. Elle comporte en fait les mêmes mentions obligatoires qu’une facture papier (art. 289 du Code général des impôts), mais s’en différencie par de nombreux avantages :

    • fini les erreurs humaines de types mauvaise saisie ou perte d’un document ;
    • fini les coûts liés à une facture papier : coût du papier, impression, envoi postal, tri du courrier ;
    • processus fiabilisé : les systèmes d’envoi, de réception, de validation et de contrôle sont automatisés, les accès sont réservés aux agents habilités, les relances sont gérées ;
    • sécurité garantie : recours à un réseau privé et à des mécanismes de signature électronique ;
    • possibilité d'archivage conforme à la norme NF Z42-013 (Iso 14641-1) ;
    • traçabilité de bout en bout.

    Économie entre 50 % et 75 %

    Au total, l’économie sur le coût de traitement par rapport à une facturation papier est estimée entre 50 % et 75 %. L’adoption de la facture électronique améliore la productivité, avec en particulier une réduction des délais de paiement (réduction du DSO ou days of sales outstanding, ou NJC, nombre de jours de crédit clients). La relation client-fournisseur est facilitée. Le travail administratif de l’entreprise est moindre, ce qui renforce sa compétitivité. Elle se rapproche d’une connaissance en temps réel de son activité : visibilité sur les futurs paiements, prévisions…

    En outre, les bénéfices sont aussi environnementaux. On s’affranchit notamment du transport des factures papier et de leur gestion en tant que déchet. A l’entreprise ensuite
    d’inscrire la facture électronique dans sa démarche numérique écoresponsable.

    Tout converge donc pour inciter les entreprises à adopter la facture électronique dès maintenant. Les grandes entreprises, puis les ETI et enfin les PME et les microentreprises
    allaient y être progressivement obligées, de juillet 2024 à 2026, mais, le 28 juillet 2023, le gouvernement a fait machine arrière en reportant sine die cette réforme. Sa raison : leur donner plus de temps pour engager ce changement.

    Conformité

    Il s’agissait pourtant de se mettre en conformité avec une directive européenne de 2014 (2014/55/UE) voulant faire de la facture électronique le mode de facturation le plus
    répandu dans l’Union européenne, en particulier pour les marchés publics. Ce dernier point est d’ailleurs acté en France, depuis le 1er janvier 2020, avec l'obligation pour les
    factures destinées au secteur public de recourir au PPF ou portail public de facturation électronique Chorus Pro.

    Mais stop à la procrastination ! A côté du PPF, les plateformes de dématérialisation partenaires (PDP), dont l’immatriculation par l'administration fiscale est prévue, répondent présentes. Elles ont pour objet de faire transiter les factures électroniques, étant utilisées à la fois par leurs émetteurs et leurs destinataires.

    Plateforme made in France d’EnerJ

    Parmi elles, JED, plateforme de facturation électronique made in France proposée par EnerJ. JED prend en charge l’ensemble du processus de facturation électronique avec les services suivants :

    • gestion des processus d’envoi et de réception des factures échangées entre les entreprises comprenant la transmission des données, l’administration, la mise en conformité comptable et fiscale, ceci avec une large part d’automatisation (par exemple pour vérifier la cohérence des données, remplir de nouvelles données client, etc.) ;
    • sécurité des données (chiffrement, authentification) ;
    • conservation des données, avec accès facilité aux factures archivées ;
    • e-reporting des données de transaction et d’encaissement.

    Se présentant comme un portail web, la plateforme JED s'intègre au système comptable existant et peut être personnalisée. Elle s’adresse aux entreprises de toutes tailles et accepte tous les types de facture.

    Plus de 2 millions de factures traitées chaque mois

    Parmi ses références figurent Renault (industrie automobile), Marriott International (service hôtelier), Quidel (santé), XPO Logistics (logistique)… Plus de 2 millions de factures électroniques sont traitées chaque mois par EnerJ.

    A noter enfin que, pour la facturation électronique comme pour toute étape de leur transition digitale comprenant notamment l’automatisation de processus métier, EnerJ accompagne ses clients dans une véritable démarche collaborative.

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    Contact
    EnjerJ France : https://www.enerj.fr/software/jdoc

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    Pour cet épisode spécial Documation, nous nous sommes penchés sur une autre grande tendance de l'année 2024 : la cybersécurité, et plus particulièrement la sécurité dans le domaine de la gestion des données. La protection des données contre les menaces internes et externes est non seulement cruciale pour garantir la confidentialité, l'intégrité et la disponibilité des données, mais aussi pour maintenir la confiance des clients. Julien Baudry, directeur du développement chez Doxallia, Christophe Bastard, directeur marketing chez Efalia, et Olivier Rajzman, directeur commercial de DocuWare France, nous apportent leurs éclairages sur le sujet.

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