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Si l’open data est peu à peu devenu une obligation, nombre d’entités publiques peinent à le mettre en oeuvre. En cause : des données mal ou non identifiées, peu ou pas qualifiées et même parfois non valides. 

Depuis le droit d’accès aux documents administratifs (loi de 1978), les obligations légales et réglementaires en matière d’open data n’ont cessé de se renforcer. Mettre à disposition des données gratuites et fiables constitue l’objet d’une politique publique. Ne pas s’y plier est facteur de risques : détérioration ou perte de données, non valorisation de données (frein à leur réutilisation pour de nouveaux services), image négative vis-à-vis des citoyens ou usagers (manque de transparence…). En outre, cela entretient une crainte quant à la disponibilité des données personnelles, au respect de la confidentialité des données ou à leur anonymisation.

Lors de ce focus de la rédaction d’Archimag, Denis Berthault, président du Groupement français de l'industrie de l'information (GFII), expert open data à Cap Digital, expliquera les enjeux et perspectives de l’open data pour les entités publiques productrices.

La société Numen montrera comment le secteur public, les collectivités et le secteur parapublic peuvent concrètement parvenir à extraire leurs données pour leur diffusion publique.

Plus concrètement encore, deux retours d’expérience apporteront une illustration des bonnes pratiques à mettre en oeuvre. Ce sont les cas, d’une part, du l’Institut national de la propriété industrielle (INPI), avec l’exemple des liasses ou déclarations fiscales et de leurs données, faisant l’objet d’une modélisation graphique, et, d’autre part, du ministère de la Transition écologique et solidaire, avec le géoportail de l’urbanisme.

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Les podcasts d'Archimag
La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.