Neige sur la France : une IA révolutionnaire permet de faire revenir le soleil en quelques secondes

Alors que la France est confrontée à un épisode de neige tardif et à des températures glaciales, l'intelligence artificielle est bien partie pour remettre les pendules à leur place. L'application SunOnMyAss (disponible sur l'Apple Store et Google Play Store) est capable de modifier le climat en quelques secondes seulement et à un prix particulièrement attractif : 499 euros.

Développée par la start up Arnaco Weather, l'application repose sur des algorithmes habituellement utilisés dans le domaine de la physicochimie des réactions induites par rayonnements, particules et ultrasons. "Nous sommes les premiers à recourir à cette technologie disruptive" explique Hugues Beaubard de l'Hesbrouffe ; "nous avons consenti un budget Recherche & Développement sans précédent pour parvenir à cette prouesse qui, je dois le dire, fait de nombreux jaloux dans les pays scandinaves".

SunOnMyAss, ça marche aussi pour la ganja

Les premiers utilisateurs de SunOnMyAss ne tarissent pas d'éloges sur les performances de l'application : "auparavant j'avais recours aux marabouts pour avoir du soleil sur mes plantations de ganja mais, wesh, ça marchait une fois sur deux. Grâce à SunOnMyAss, le soleil brille en permanence sur mes plantes" se réjouit Bob Lehoinj. Même satisfaction pour Ange-Dominique Patullacci, propriétaire d'une plage privée dans la baie de Rondinara, située entre Bonifacio et Porto-Vecchio (Corse) : "il suffit d'un clic et d'attendre moins de dix secondes pour se croire en plein mois d'août ! Je vais désormais avoir des clients du 1er janvier au 31 décembre ! Testa di cazzu, c'est miraculeux ! Et les impôts n'y verront que du feu..."

Pour les dirigeants d'Arnaco Weather, le pari est en passe d'être tenu : "nous sommes en train de nous faire une place au soleil sur un marché qui s'annonce très prometteur. Plusieurs candidats à l'élection présidentielle nous ont déjà contactés en prévision de la fête qu'ils organiseront le soir du 24 avril..."