Le DAM (Digital Asset Management), l’indispensable allié de la gestion de vos ressources multimédia


Le DAM fait partie dans la grande famille des solutions de gestion de l’information incluant également l’ECM, la GED, le CMS, le MRM ou encore le PIM, à ceci près qu’il se concentre en priorité sur la gestion des médias (photos, vidéos, fichiers audio, fichiers 360°, vues 3D, etc.). 

Plus d’une centaine d’acteurs et de solutions se disputent le marché mondial du DAM, avec chacun des spécificités en termes de secteurs ciblés et/ou en termes de fonctionnalités et de possibilités.
Toutes les organisations sont pourtant confrontées à la même problématique : traiter et relayer rapidement la bonne information, au bon moment et sur le bon canal. Or, le volume d’informations à traiter ne cesse de croître et les canaux de diffusion se multiplient. Sans compter que chaque contenu a son propre cycle de vie.

Médias : une gestion complexe et chronophage

La gestion de toutes ces informations devient donc complexe et chronophage. Dans bien des cas elle n’est d’ailleurs que très peu maîtrisée et constitue une nébuleuse mal exploitée par la plupart des organisations. L’optimisation de la gestion des contenus peut donc rapidement constituer une vraie plus-value et même devenir un avantage concurrentiel.

Aussi pour pouvoir gérer cette complexité, automatiser certaines tâches et raccourcir les cycles de création, de production et de diffusion des contenus sur différents supports (site web, catalogues produit, manuels, etc.), bon nombre d’organisations se tournent vers des logiciels spécialisés, sans savoir dans quelle catégorie trouver leur bonheur. Et si celui-ci se trouvait dans le DAM ?

Le DAM à la rescousse

Axées, à l’origine, sur la gestion pure des photos et des vidéos, les plateformes de DAM ont depuis quelques années étendu leur spectre à tous les actifs numériques de l’organisation (infographies, fichiers audio, images à 360°, documents, plans, etc.).

En fonction de la cible à laquelle les éditeurs de DAM s’adresse, ils parlent plus volontiers de médiathèque ou de photothèque, mais aussi de MAM qui peut à la fois désigner le Media Asset Management ou Marketing Asset Management (qui inclut l’ensemble des fichiers de création ou transformation graphique, les présentations et autres documents marketing) ou encore de MRM (Marketing Ressource Management) ou tout simplement de photothèque. Quelle que soit l’appellation, la fonction première du DAM reste la même : gérer les photos, les vidéos et toutes les autres ressources multimédia.  

Le DAM et ses vertus créatives et collaboratives

Les logiciels DAM sont même devenus aujourd’hui de véritables plateformes collaboratives capables d’automatiser certaines tâches chronophages, d’accélérer les circuits de validation et, bien entendu, de gérer tout type de médias, et en masse. Ils fournissent à l’organisation une interface centrale et un référentiel unique pour fluidifier et accélérer la gestion de l’ensemble des ressources multimédia.

Il intègre des systèmes de métadonnées sophistiqués pour faciliter l’indexation, des flux d’approbation, la gestion des utilisateurs et des autorisations, la gestion des copyrights, sans oublier des fonctionnalités de partage et d’archivage. Le DAM s’intègre également au système d’information de l’organisation, via des connecteurs capables de nouer le dialogue avec un PIM, un CMS, une suite bureautique, des services cloud ou encore des logiciels créatifs. 

Et ce, à des conditions tarifaires qui sont accessibles à tout type d’organisation, y compris les PME. Le DAM n’est plus l’apanage des grands comptes et des ETI. 

C’est ce que nous proposons de découvrir dans ce Supplément Archimag 100% digital. 

 

Les podcasts d'Archimag
La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.