Kodak Alaris obtient l'écolabel EPEAT Or

  • kodak-alaris-obtient-ecolabel-epeat-or.jpg

    Kodak-Alaris-obtient-ecolabel-EPEAT-Or
    Kodak Alaris obtient l'écolabel EPEAT Or pour ses scanners à faible consommation d'énergie. (freepik@jcomp)
  • L’Electronic product environmental assessment tool (EPEAT), géré par le Green Electronics Council (GEC), est un écolabel qui permet de trouver ou promouvoir des produits respectueux de l'environnement. S’engageant pour l’environnement, Kodak Alaris a reçu l'écolabel EPEAT Or, le plus haut niveau de certification possible, pour la conception de douze nouveaux scanners de documents.  

    L’écolabel EPEAT s’obtient à l’aide d’une demande adressée au GEC. Ceci consiste à vérifier et déclarer les produits que le fabricant souhaite voir certifiés. Le fabricant signe un contrat et décrit l’ensemble du ou des produits au GEC.   

    Pour appartenir au registre EPEAT, des critères doivent être remplis, notamment environnementaux. L'obtention de cet écolabel signifie que les produits sont conformes aux exigences de la directive relative à la limitation de l’utilisation de certaines substances dangereuses (RoHS), et ils sont conçus pour être recyclables et classés Energy Star.  

    Quels produits de Kodak Alaris ont-ils obtenu l’écolabel ?   

    “Au total, nous avons 33 produits inscrits au registre EPEAT”, déclare John Blake, vice-président senior du marketing et de la gestion des produits de la division Alaris de Kodak Alaris.  

    Les scanners Kodak séries S3000, S2000, ainsi que E1000 sont désormais dans le registre EPEAT Or. Concernant les scanners série S3000, par exemple, d’autres critères ont été pris en compte dans leur conception afin de respecter certaines exigences. Des critères tels que le fait que l'emballage du produit est composé à 90 % de matériaux recyclables, qu’une évaluation du cycle de vie du produit est enregistrée dans une base de données nationale, ou encore que la communication publique des substances toxiques de la chaîne d'approvisionnement est disponible. 

    À lire sur Archimag
    Les podcasts d'Archimag
    La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.