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Dossier : Les bibliothèques à la reconquête de leurs publics

Les différents publics des bibliothèques vus par le dessinateur Yves Barros. Archimag/Barros

 

Depuis plusieurs années, les bibliothèques déplorent une baisse des inscriptions et une diminution des emprunts de documents. Pour tout dire, les bibliothécaires ressentent une forme de désamour de la part d’un public qui préfère les écrans numériques aux livres stockés dans les rayonnages. Pour inverser la tendance, de nombreuses initiatives voient le jour en direction des publics étrangers, des seniors ou des jeunes. A Lyon, à Montreuil, en Savoie et Haute-Savoie, à Paris ou à Clamart, les bibliothécaires se mettent au diapason d’un public infidèle.

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La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.