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L'ECM dans la nébuleuse du cloud

« Les dirigeants sont prêts aujourd'hui à perdre un peu en contrôle sur la personnalisation et les infrastructures pour gagner en souplesse et en temps de développement... » Michael Harlaut, Alfresco. DR

 

Les éditeurs de solutions de gestion de contenu d'entreprise mettent à leur tour l'accent sur le cloud. Objectif : réduire les coûts et riposter à la montée en puissance des nouveaux systèmes en ligne de collaboration et de partage de documents, tels Dropbox ou Box.

« Il y a presque autant de types d'offres Saas (software as a service) que d'éditeurs sur ce salon », soupire un exposant de Solutions, le grand raout des éditeurs d'outils de gestion d'entreprise organisé à Paris du 1er au 3 octobre 2013, lorsqu'on l'interroge sur le marché des services en ligne. Ses concurrents présents sont également nombreux à se déclarer convaincus que l'engouement collectif pour le Saas et le cloud computing - autrement dit la vente de logiciels sous forme de services et la fourniture d'un ensemble de technologies hébergées dans les nuages - peine encore à se traduire en ventes concrètes de services en ligne aux entreprises françaises.

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La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.