Oublie un livre quelque part : plus que deux jours pour participer au challenge Facebook !

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    "J'ai peur que les gens volent les œufs et ne prennent pas mon livre qui est quand même très bien !" (Facebook/Anne Duchemin)
  • Dépêchez-vous, l'opération s'arrêtera le dimanche 14 septembre prochain à 20h59 !

    Certes, les défis lancés sur le réseau social Facebook ne volent pas toujours très haut. Peut-être celui-ci aura-t-il le mérite de vous faire voyager, par le biais de la lecture et de l'imagination : du 7 au 14 septembre, l'opération "Oublie un livre quelque part" vous propose de choisir un livre (en bon état de lecture, de préférence...) et de "l'oublier" (délibérément) dans un lieu public.

    Mot doux

    Arrêt de bus, siège de métro ou banc public... Ne le cachez pas, ceci n'est pas une chasse au trésor ! Il faut que n'importe quel badaud puisse ensuite s'en saisir et découvrir la petite note que vous lui aurez (dans l'idéal) laissée : "Voici un livre que j'ai déposé ici dans le but que tu le lises et le partages à ton tour". Libre à vous de la signer...

    47 600 personnes à travers le monde

    Lancée par deux étudiantes québécoises du centre de recherche du CHUS (Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke), l'opération a déjà séduit plus de 47 600 personnes, depuis le Canada à la France, en passant par la Belgique. Alors à vous de jouer : lancez-vous dans le trafic de littérature. Qui a dit que la circulation de l'information et de la connaissance devait exclusivement passer par les institutions ou les médias ?

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    La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.

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