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Digitalisation : i-numerics met de l’intelligence artificielle dans ses scanners et ses logiciels

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    La digitalisation présente de nombreux avantages pour les entreprises. (Image de Freepik)
  • La société i-numerics met en avant l’intelligence artificielle afin de développer ses scanners et logiciels. Avec ces nouveaux produits, la société tend davantage à développer son expertise tout en réduisant les coûts et l’empreinte carbone. 

    L'intelligence artificielle s’invite dans la transformation numérique et la digitalisation des documents. I-numerics, anciennement IMDS, société de services française spécialisée dans la transformation digitale, met en avant l’intelligence artificielle dans ses scanners et ses logiciels et permet un nouveau traitement automatisé des documents. Cette fonctionnalité permet aux entreprises privées et aux administrations publiques de gagner du temps dans leur gestion documentaire. “Nos produits simplifient des tâches lourdes et chronophages et permettent ainsi de gagner en efficacité de traitement”, précise la société. “Elle permet également de faire circuler moins de papier, de réaliser des économies en coûts de stockage, de conserver des patrimoines vulnérables ou encore de valoriser l’information.”

    Une intervention à plusieurs niveaux

    Les entreprises peuvent faire appel à i-numerics pour intervenir sur plusieurs phases de leur transformation numérique. A l’achat et à la location tout d’abord, puisque la société propose des logiciels et du matériel de numérisation : scanners documentaires de production et de bureau, scanners patrimoniaux (scanners à plat, scanners en V pour ouvrages reliés et anciens, et scanners de microformes), scanners spécifiques pour le marché du décor, de l’industrie, de la santé et des laboratoires biotechnologiques, ou encore des solutions logicielles de numérisation, (LAD/RAD/OCR/ICR, GED et archivage). 

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    La mise à disposition des décisions de justice en Open Data a vu le jour grâce à la loi pour une République numérique votée en 2016. Les articles 20 et 21 prévoient la mise en open data des quatre millions de décisions de justice produites chaque année par les tribunaux français. Camille Girard-Chanudet est chercheuse en sociologie au sein du Centre d’étude des mouvements sociaux. En 2023, elle a soutenu une thèse devant l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) : "La justice algorithmique en chantier, sociologie du travail et des infrastructures de l’intelligence artificielle". Dans ce cadre elle a rencontré les équipes de la Cour de cassation qui procèdent à l’anonymisation des décisions de justice.

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