Les 8 et 10 mai 2025, Donald Trump a limogé Carla Hayden, cheffe de la Bibliothèque du Congrès, et Shira Perlmutter, directrice du Bureau du droit d’auteur et poursuit son offensive contre la diversité dans les rayons des bibliothèques militaires.
L'American Library Association (ALA), principale organisation professionnelle des bibliothécaires aux États-Unis, s'oppose fermement à cette décision du président Donald Trump, qui met en péril le financement des 125 000 bibliothèques du pays.
Depuis janvier 2025, le gouvernement Trump a engagé une vaste campagne de suppression de données publiques fédérales. En réaction, archivistes et spécialistes des données se mobilisent pour contrer cette purge, dont les initiatives sont recensées par le Data Rescue Project 2025.
Moins d’un mois après son investiture, Donald Trump a démis Colleen Shogan, Archiviste des États-Unis, sans préavis. Ce licenciement s’inscrit dans le conflit qui oppose le président américain Trump à la National Archives and Records Administration (NARA).
Alors que 99 % des cinq millions de pages relatives à ces crimes sont déjà accessibles, Donald Trump estime que "la rétention d'informations n'est pas compatible avec l'intérêt public".
Le procureur spécial Jack Smith a fait appel le 26 août 2024 de l'annulation de la procédure qui visait Donald Trump pour détention illégale d'archives classifiées.
Depuis la suppression des frais de retard il y a trois ans, les bibliothèques publiques de New York ont vu une augmentation significative des inscriptions et du nombre de documents empruntés, confirmant ainsi le succès de cette initiative.
Abonnés Le Data Privacy Framework (DPF) pose un nouveau cadre pour l’échange de données entre les États-Unis et l’Europe. Quels sont les apports de ce nouveau règlement qui succède au Privacy Shield ? Et qu’en est-il des pratiques contractuelles mises en place par les entreprises suite...
Le projet LUX permet d'accéder à plus de 17 millions d’articles des collections patrimoniales provenant des musées, bibliothèques et archives de l’Université de Yale.
La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.