L’intérêt de gérer le patrimoine d’une entreprise va bien au-delà de l’aspect archivistique. Quelle qu’elle soit, l’entreprise peut engranger de nombreux avantages en s’appuyant sur son histoire et son patrimoine et en les valorisant.
L’Association des archivistes français (AAF) facilite l'accès aux cahiers de doléances du Grand débat national de 2018 en publiant la liste des versements des cahiers citoyens et les services d'archives départementales où les consulter, mais leur diffusion en ligne reste limitée...
En utilisant des images d’archives datées de 80 ans, la fonctionnalité "Timelapse" de Google Earth permet désormais de suivre l’évolution des villes et des paysages. Près de 80 nouveaux pays enrichissent aussi Street View, offrant une immersion unique dans le monde entier.
Archimag donne la parole à Camille Forget, e-archiviste au sein des Archives nationales du Luxembourg, qui présente son mémoire de Master Enssib "Voyager dans le temps à l’ère des expositions virtuelles d’archives".
La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.