Insolite : Emprisonné pour voir oublié de rendre un livre à la bibliothèque

Une ordonnance a été instaurée dans la ville il y a 4 ans, afin qu'un mandat d'arrestation puisse être émis pour ce genre de délit. Miss Millions

 

Un jeune texan a fait 24 heures de prison pour avoir oublié de rendre un livre, emprunté à la bibliothèque... en 2010.

Inspectez vos étagères ! Si vous êtes du genre à oublier les dates limites ou à avoir aimé un livre au point de ne plus vouloir le rendre, il va falloir être vigilant : ne pas rendre en temps et en heure un ouvrage emprunté à la bibliothèque peut vous mener directement en prison !

Sans surprise, c’est au Texas que s’est déroulée la mésaventure du jeune Jory Enck. Il y a trois ans, le jeune homme de 16 ans empruntait un guide de préparation aux examens General Educational Development (GED, attestant des compétences du niveau lycée pour un élève) à la bibliothèque municipale de Copperas Cove.

200 $ d'amende

Malgré les courriers de relance et les appels téléphoniques, le jeune homme oublie - ou s’abstient - de restituer l’ouvrage passé le délai autorisé de… 90 jours.

Mercredi dernier, les forces de l’ordre sont venues sonner à la porte de Jory Enck et l’ont emprisonné durant 24 heures. Libéré moyennement le paiement d’une amende de 200 dollars, le jeune homme a immédiatement restitué le fameux guide. Celui-ci a depuis réintégré les rayonnages de la bibliothèque avec, à l’intérieur, la carte de bibliothèque du "dangereux délinquant".

Au regard des réactions soulevées sur les réseaux sociaux par cette actu, vous avez été nombreux à trouver que la peine infligée à Jory Enck était incroyablement démesurée. Ne vaut-il pas mieux en rire ? Nous pensons que si !
Voici donc en bonus une parodie drolissime réalisée par Phil Demoulin & Fred Coiffe : 

Les podcasts d'Archimag
La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.