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Le (mini) Tour de France des bibliothécaires pour promouvoir les bibliothèques

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    Les bibliothécaires dans le peloton (Cycling for Libraries)
  • Les bibliothécaires parcourront 500 kilomètres pour promouvoir le rôle des bibliothèques auprès du public et des pouvoirs publics.

    A trois jours du départ du Tour de France, les bibliothécaires s'apprêtent eux aussi à enfourcher leur vélo. Dans le cadre du rassemblement international "Cycling for Libraries", une centaine de bibliothécaires vont relier Montpellier à Lyon pour promouvoir le rôle des bibliothèques auprès du public et des pouvoirs publics. Leur arrivée à Lyon coïncidera avec l'ouverture du congrès de l'IFLA.

    Le rythme de course sera cependant bien moins éprouvant que celui des coureurs du Tour de France ! Les bibliothécaires disposeront de neuf jours pour parcourir les 500 kilomètres qui séparent Montpellier de Lyon. Du 6 au 14 août, ils feront étape dans plusieurs établissements : médiathèque Jules Vernes à Saint-Jean de Védas, Carré d'Art à Nîmes, bibliothèque universitaire de Lyon...

    Mieux faire connaître les services des bibliothèques

    Créée en 2011, l'association "Cycling for Libraires" travaille avec des organisations internationales de bibliothèques telles que l'IFLA ou l'EBLIDA afin de "promouvoir les bibliothèques et mieux faire connaître les services et les ressources que les bibliothèques proposent à leurs publics". Les précédentes éditions de Cycling for Libraries se sont déroulées en Allemagne et en Lettonie.

    Les bibliothécaires désireux de rejoindre le peloton peuvent s'enregistrer sur le site Cycling for Libraries jusqu'au 5 juillet.

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    Commentaires (1)

    • Portrait de sandramereu

      Je suis contente de voir cette initiative. Une vraie action de marketing opérationnel qui saura, sans aucun doute pour ma part, marquer les esprits et faire valoir le grand travail des bibliothécaires, tant d'un point de vue culturel que pédagogique et social. Bravo pour cette idée, originale, et qui portera ses fruits !

      juil 04, 2014
    Les podcasts d'Archimag
    La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.
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