Stadium, la bibliothèque numérique consacrée au sport

  • jeux_olympiques_paris_1924.jpeg

    Stadium-bibliotheque-numerique-consacree-sport
    Cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de 1924 au stade de Colombes (Musée du Sport / Stadium)
  • Le Musée national du Sport, en partenariat avec la Bibliothèque nationale de France, propose une plateforme dédiée au monde du sport avec plus de 85 000 documents et objets numérisés.

    Alors que la France s'apprête à accueillir l'édition 2024 des Jeux Olympiques, le musée national du Sport propose aux internautes de plonger dans les archives du sport  : œuvres d’art ou architecturales, objets, archives, photos mais aussi patrimoine immatériel, vidéo, chants, témoignages, gestuelles… Au total, plus de 85 000 documents sont consultables sur "Stadium, l’héritage du sport" la nouvelle plateforme développée en partenariat avec la Bibliothèque nationale de France.

    De A comme athlétisme à W comme water-polo, de nombreuses disciplines sont mises à l'honneur. Chaque document fait l'objet d'une description particulièrement bien documentée (auteur, format, droits…) et peut être partagé et téléchargé.

    Dispositif « Gallica marque blanche »

    Stadium rejoint le groupe des 20 bibliothèques numériques réalisées grâce à « Gallica marque blanche ». Ce dispositif permet de mutualiser l’infrastructure d’une bibliothèque numérique sur la base de la technologie proposée par Gallica. Le site bénéficie ainsi de l’infrastructure et des fonctionnalités de Gallica, tout en déployant sa propre identité graphique et ses axes d’éditorialisation.

    Stadium a vocation à s'enrichir de nouveaux documents. A ce jour, la plateforme propose 85 540 documents dont plus de 66 000 issus de la bibliothèque numérique Gallica, 18 684 provenant du musée national du Sport et de plus de 50 partenaires, 55 697 fascicules de presse et de périodiques, 27 409 images, 1 252 objets sportifs, 962 livres et 39 manuscrits.

     

     

     

     

    À lire sur Archimag
    Les podcasts d'Archimag
    La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.

    sponsoring_display_archimag_episode_6.gif