Open Data : les Hauts-de-Seine font le grand saut !

53 jeux de donnés sont disponibles dans la première version du catalogue. opendata.hauts-de-seine.net

 

Patrick Devedjian, Président du Conseil général des Hauts-de-Seine, a lancé officiellement la plateforme opendata.hauts-de-seine.net.

C’est dans une "dynamique de dialogue" avec les usagers que la plateforme des données publiques des Hauts-de-Seine a été lancée. L'ensemble des données publiques produites dans le cadre de l'activité du département (les chiffres détaillés du budget du Conseil général, les données clés des projets de transports, les informations autour du patrimoine public, etc.) sont désormais à la disposition des Alto-séquanais. La plateforme opendata.hauts-de-seine.net dispose de 53  jeux de donnés pour la première version du catalogue, 9 thématiques, 5 formats de fichiers informatiques « ouvert » (accessibles à tous). 

La licence utilisée est la "Licence Ouverte / Open Licence". Cela signifie que, sauf mention contraire, vous êtes libre de réutiliser ces jeux de données, gratuitement et sans restriction d’usage, à la condition de citer la source (Conseil général des Hauts-de-Seine) et la date de dernière mise à jour.

Transparence et développement économique.

L’objectif affiché est de garantir la transparence des dépenses et de l’action publique. Ce projet s’inscrit aussi dans une dynamique de développement économique. Le conseil espère des retombés économiques en permettant aux professionnels d'utiliser ces donnée pour des services répondant aux besoins et attentes de la population.

Les podcasts d'Archimag
La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.