Plus de 4 000 postes à pourvoir dans la filière numérique du service public

  • recrutement_numerique.jpg

    Plus-4000-postes-pourvoir-filiere-numerique-service-public
    L'Etat va créer 500 postes au sein de la filière numérique en 2024 (Freepik Premium / DC Studio)
  • La Cité internationale Universitaire de Paris accueille aujourd'hui le salon national de l’emploi public "Choisir le service public". L'occasion pour l'Etat de combler ses besoins en matière de compétences numériques.

    Vous êtes jeune diplômé ? Salarié issu du secteur privé ? Vous disposez d'une compétence numérique ? Alors votre profil intéresse le service public. Plus de 4 000 postes sont en effet à pourvoir au sein de la filière numérique du service public sur l'ensemble du territoire français (y compris outre-mer). Le site officiel de recrutement de l'Etat propose à ce jour 4 611 offres d'emploi : ingénieur de recherche en intelligence artificielle pour la prévision du temps, responsable des systèmes d'information et de communication, spécialiste de la donnée...

    Au coeur du système, la Dinum (Direction interministérielle du numérique) propose à elle seule de nombreux postes qui viendront enrichir des effectifs qui s'élèvent à 200 collaborateurs. Pour la seule année 2024, l'Etat s'apprête à créer 500 postes afin de répondre aux besoins les plus urgents.

    Un référentiel pour la rémunération des 55 métiers de la filière numérique

    Côté rémunération, l'Etat propose un référentiel des 55 métiers de la filière numérique qui définit des valeurs de salaires sur l’ensemble des métiers avec des fourchettes basses et hautes, en fonction du métier et de l’expérience de chaque candidat ou agent déjà en place.

    Ce mardi 12 mars, la Cité internationale Universitaire de Paris accueille le salon national de l’emploi public "Choisir le service public" qui rassemble plus de 70 grands employeurs publics. L'occasion pour l'Etat de combler ses besoins en matière de compétences numériques. Rendez-vous sur le stand unique n°51.  

    À lire sur Archimag
    Les podcasts d'Archimag
    La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.