Article réservé aux abonnés Archimag.com

Les opérateurs publics de services numériques

Thomas Saint-Aubin. Michel Leroux-Dila

 

En matière d’administration électronique, les initiatives et les projets ne manquent pas. Mais, devant le risque de dispersion, une démarche d’ensemble rationnelle est à favoriser.

Confrontés à une feuille de route ambitieuse en matière d’administration numérique, les acteurs publics doivent mieux s’organiser pour répondre plus efficacement aux besoins des usagers. Quel que soit le niveau d’infogérance, le développement de certains services numériques à haute valeur ajoutée n’est pas toujours conciliable avec le cœur de métier des différentes entités publiques.

« Je crois qu’il existe une sorte de plafond qui fait que l’on ne peut pas se contenter, pour avoir une administration numérique, d’une sorte de catalogue de projets conçus de manière isolée. Je crois...

Cet article vous intéresse? Retrouvez-le en intégralité dans le magazine Archimag !
Les podcasts d'Archimag
La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.