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DocuSign orchestre une démo en temps réel de sa solution de signature électronique

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    Michael Lakhal, Product Marketing Manager de DocuSign, en pleine explication sur le stand de la société, juste après sa conférence sur la signature électronique
  • La signature électronique n'est plus de la science-fiction. Elle se répand et la taux d'adhésion est très important. Vous la trouvez désormais dans les banques pour la souscription de certaines offres de prêts, dans certains cabinets de gestion immobilière pour la signature de baux, chez certains revendeurs pour régler un achat en plusieurs fois, etc. Michael Lakhal (Product Marketing Manager de DocuSign) et Thibault de Valroger (Senior Director Business Development) étaient justement présents à Documation 2016 pour en parler et convaincre les derniers sceptiques. 

    La signature électronique est aujourd'hui au document numérique, ce que la signature manuscrite est au document papier. Elle constitue un « mécanisme d'engagement » fiable ayant une valeur légale et offrant de nombreux avantages :

    • elle permet de signer un document sans l'imprimer (d'où des économies de temps, d'encre et de papier)
    • elle permet l'envoi des documents signés par mail (d'où des économies en matière d'envoi et de frais postaux)
    • elle autorise la signature de documents à distance (d'où des économies de temps et de trajet)
    • elle permet de conserver le document signé sous forme numérique (ce qui simplifie l'archivage et élimine la manipulation du papier).

    Des arguments qui permettent aux organismes utilisateurs (banques, assureurs, distributeurs, etc.) de gagner du temps dans la saisie des dossiers, d'accélérer la contractualisation (aussi bien en points de vente qu'en ligne) et in fine d'augmenter le nombre de souscriptions.

    Mieux que des mots, une démo

    Simple, pratique, la signature électronique ne semble avoir que des avantages. Et la sécurité dans tout cela ? Comment cette signature électronique est-elle sécurisée ? Comment être certain que le document n'a pas été modifié ? Comment être sur que le bon document a bien été signé par la bonne personne ? A ces questions et à toutes celles que l'auditoire de cette conférence se posait sur le sujet, Michael Lakhal et Thibault de Valroger ont apporté des réponses. Avec, en prime, une démonstration concrète de la solution et de la plateforme DocuSign. Un document Word a ainsi été envoyé depuis un PC portable présent sur le pupitre de la conférence à Michael Lakhal afin d'être paraphé sur certaines pages et signé électroniquement. Ce dernier l'a immédiatement reçu par mail sur son iPhone, l'a ouvert, l'a vérifié, l'a paraphé et l'a signé. En moins d'une minute, le commanditaire de la signature a été averti et que son document était paraphé, signé et qu'il pouvait désormais être classé, archivé ou poursuivre son circuit.

    Une démonstration qui a immédiatement prouvé à l'auditoire que la signature électronique façon DocuSign n'avait que des avantages, aussi bien pour les entreprises que pour le consommateur lambda. 

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    Rencontre avec Stéphane Roder, le fondateur du cabinet AI Builders, spécialisé dans le conseil en intelligence artificielle. Également professeur à l’Essec, il est aussi l’auteur de l’ouvrage "Guide pratique de l’intelligence artificielle dans l’entreprise" (Éditions Eyrolles). Pour lui, "l’intelligence artificielle apparaît comme une révolution pour l’industrie au même titre que l’a été l’électricité après la vapeur".
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