La bibliothèque universitaire Droit-Lettres de Bordeaux rouvre ses portes

  • bu_bordeaux.jpg

    bibliotheque-universitaire-Droit-Lettres-Bordeaux-rouvre-portes
    La façade habillée d’un motif ajouré de moucharabieh métallique de la BU de Bordeaux (©Université de Bordeaux)
  • L'équipement rénové propose désormais 1 810 places de travail et des horaires élargis aux étudiants de l'université de Bordeaux et de l'université Bordeaux Montaigne.

    Après plus de deux ans et demi de travaux, la bibliothèque universitaire Droit-Lettres de Bordeaux a rouvert ses portes au public étudiant. Une extension de 1 500 m²  a permis la création de 40 salles de travail individuel ou en groupe ainsi que quatre salles dédiées spécifiquement à la formation à la recherche documentaire. Les travaux ont aussi  été l'occasion de mettre en place une circulation plus fluide et des ilôts destinés à la détente. Un espace évènementiel sera également réservé à la culture et la vie de campus.

    "La rénovation a également été pensée pour faire du bâtiment un écrin pour de futures expositions permettant de valoriser le patrimoine documentaire universitaire auprès du plus grand nombre" explique l'Université de Bordeaux. Les collections patrimoniales comptent 45 000 documents anciens, rares ou précieux. La bibliothèque propose aux usagers une offre de numérisation à la demande.

    La BU est désormais dotée d'une surface de 12 000 m² soit l'équivalent de deux terrains de rugby. 1 810 places de travail sont aujourd'hui proposées aux étudiants de l'université de Bordeaux et de l'université Bordeaux Montaigne. La BU Droit-Lettres de Bordeaux enregistre 800 000 entrées par an.

    À lire sur Archimag
    Les podcasts d'Archimag
    La mise à disposition des décisions de justice en Open Data a vu le jour grâce à la loi pour une République numérique votée en 2016. Les articles 20 et 21 prévoient la mise en open data des quatre millions de décisions de justice produites chaque année par les tribunaux français. Camille Girard-Chanudet est chercheuse en sociologie au sein du Centre d’étude des mouvements sociaux. En 2023, elle a soutenu une thèse devant l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) : "La justice algorithmique en chantier, sociologie du travail et des infrastructures de l’intelligence artificielle". Dans ce cadre elle a rencontré les équipes de la Cour de cassation qui procèdent à l’anonymisation des décisions de justice.

    sponsoring_display_archimag_episode_6.gif