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Open Bee obtient son immatriculation PDP

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    Les entreprises auront jusqu'à 2026 ou 2027, selon leur catégorie, pour se conformer aux réglementations sur la facturation électronique (Freepik).
  • L'éditeur de gestion électronique de document (Ged) Open Bee annonce à son tour l'immatriculation de sa solution en tant que plateforme de dématérialisation partenaire (PDP) dans le cadre de la réforme de la facture électronique.

    Avec l’abandon du Portail public de facturation (PPF) comme plateforme de facturation, les entreprises doivent désormais se tourner obligatoirement vers les plateformes de dématérialisation partenaires (PDP). Parmi elles, celle de l’éditeur de gestion électronique de documents Open Bee, récemment immatriculée par la Direction générale des finances publiques (DGFiP), vient de s’ajouter à la liste pour accompagner les entreprises dans leur transition numérique

    Lire aussi : Facture électronique : le gouvernement annonce l'abandon du Portail Public de Facturation

    Une plateforme certifiée et sécurisée

    La version 7 de la plateforme Open Bee intègre désormais des fonctionnalités avancées depuis sa solution Ged, telles que l’extension PDP, la signature électronique et la création de circuits de validation pour automatiser la mise à jour des statuts des factures.

    Certifiée ISO 27001 et NF 203 pour l'archivage électronique, la plateforme garantit la sécurité des données à chaque étape de leur cycle de vie, de leur création jusqu’à leur archivage. Sa fiabilité a également été certifiée “PDP ready”, une conformité délivrée par Infocert à l’issue d’un audit.

    Dès 2025, des partenaires d’Open Bee proposeront des audits aux entreprises pour les aider à mieux gérer leur transition vers la dématérialisation. Ces diagnostics porteront sur des aspects clés comme la typologie des factures, les volumes, les formats et les cas d'usage spécifiques, afin d’adapter leur écosystème applicatif.
     

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    La mise à disposition des décisions de justice en Open Data a vu le jour grâce à la loi pour une République numérique votée en 2016. Les articles 20 et 21 prévoient la mise en open data des quatre millions de décisions de justice produites chaque année par les tribunaux français. Camille Girard-Chanudet est chercheuse en sociologie au sein du Centre d’étude des mouvements sociaux. En 2023, elle a soutenu une thèse devant l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) : "La justice algorithmique en chantier, sociologie du travail et des infrastructures de l’intelligence artificielle". Dans ce cadre elle a rencontré les équipes de la Cour de cassation qui procèdent à l’anonymisation des décisions de justice.

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