Tout sur les plateformes documentaires au menu du nouveau Supplément d'Archimag !

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    Si le contexte sanitaire a contribué à l’essor du marché des plateformes documentaires, ces dernières doivent également leur succès aux nombreux avantages qu’elles offrent. Ils sont à découvrir dans ce Supplément Archimag.
  • Difficile pour le profane de faire le distingo entre les GED pures, les ECM et les plateformes documentaires telles que nous les envisageons dans ce Supplément. Pourtant ces plateformes documentaires n’ont absolument pas la même vocation qu’une GED ou un ECM.

    Si elles permettent effectivement de référencer, d’indexer, d’agréger et de gérer l’ensemble des contenus de l’organisation, elles offrent aussi et surtout des capacités d’éditorialisation, de valorisation et de diffusion. Et leurs atouts ne s’arrêtent pas là. Elles permettent également d’interroger des sources de données externes (bases externes, GED, ERP, CRM, etc.) via des passerelles sécurisées. Elles assurent également le stockage, aussi bien des documents métiers de l’organisation, que de ses ressources multimédia (photos, plans, vidéos, etc.) et contribuent ainsi à fédérer l’information depuis un portail d’accès unique.

    À cela, s’ajoutent des outils facilitant la collaboration et la communication (chat, forums, newsletters, abonnement à des thématiques, formulaires de demandes en ligne), ainsi que des outils d’éditorialisation du portail de diffusion (agenda, actualités, blog, etc.) afin d’animer la base de connaissances et encourager l’adhésion des collaborateurs.

    Riches et polyvalentes, ces plateformes documentaires décloisonnent l’information et peuvent ainsi constituer le référentiel unique de l’organisation. Pour vous en convaincre, suivez ce lien et téléchargez gratuitement le nouveau Supplément d'Archimag consacré à ces plateformes documentaires et aux possibilités qu'elles offrent. 

     

     

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    La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.

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