Josée Kirps élue présidente du Conseil international des archives

  • josse_kirps.jpg

    Josee-Kirps-elue-presidente-Conseil-international-archives
    Josée Kirps nouvelle préisdente du Conseil international des archives (AIAF)
  • La directrice des Archives nationales de Luxembourg succède à David Fricker et va assurer la présidence de l'ICA pour une période de quatre années

    La Luxembourgeoise Josée Kirps a été élue à la tête du Conseil international des archives pour la période 2022-2026. Elle occupait jusqu'ici le poste de directrice des Archives nationales de Luxembourg et assurait la présidence  du Comité directeur de l’Association Internationale des Archives Francophones (AIAF) depuis 2021. Elle succède à David Fricker ancien directeur général des Archives nationales d'Australie.

    Diplômée en histoire et en lettres modernes de l’Université de Montpellier, Josée Kirps a commencé sa carrière au sein du ministère luxembourgeois de la Culture en tant que responsable de la section des arts plastiques.

    Promouvoir l'accès aux archives

    Créé en 1948, le Conseil international des archives a pour mission de promouvoir la préservation et l'accès aux archives dans le monde entier, au moyen de la coopération internationale. Il a notamment contribué à la promulgation par le Conseil de l'Europe, en 2000, de la Recommandation R13 qui définit une politique européenne en matière d'accès aux archives.

    Plus récemment, l'ICA avait appelé le gouvernement russe "à ne pas mettre en danger les professionnels du patrimoine documentaire ou culturel qui restent dans en Ukraine, et à s'abstenir de détruire le patrimoine documentaire et culturel".

    Le mandat de présidente de l'ICA constitue une mission bénévole qui ne fait l’objet d’aucune rémunération.

    À lire sur Archimag
    Les podcasts d'Archimag
    La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.

    Serda Formations Archives 2025

    Indispensable

    Bannière BDD.gif