Fan 2010 - RFIT-Technologies : traçabilité avec RFID

Jérôme Soulier, directeur technique RFIT-Technologies M Remize

 

Jeune société implantée à Valence (Drôme), RFIT-Technologies propose des solutions de traçabilité et d'identification automatique. Parmi elles, Doc Innov qui, avec étiquette et lecteur RFID, permet le suivi physique des documents.

Doc Innov existe en deux versions. La première, pour les documents circulant, relie un document en cours d'utilisation à sa localisation physique. C'est par exemple un cabinet d'avocats où les dossiers passent d'un bureau à l'autre ; pour ne pas risquer d'en perdre la trace, chaque document ayant été préalablement indexé pour le système RFID, il suffit ensuite de le badger sur une des bornes-lecteurs RFID installées à l'entrée des salles pour suivre son parcours sur l'écran de l'ordinateur et savoir où il se trouve.

Dans sa deuxième version, Doc Innov s'applique à la localisation d'archives sur leurs rayonnages. A noter que RFIT-Technologies présente aussi un "tunnel RFID", grâce auquel plusieurs documents stockés dans une boîte ou un carton peuvent à la fois être repérés et identifiés.

La société prévoit aussi la sortie d'un mini lecteur RFID contenu dans une clé USB.

Les podcasts d'Archimag
La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.