Documation 2013 – Aidel et Supremia, une gestion de projet individualisée – Stand F12

Aidel et Supremia, une gestion de projet individualisée Archimag

 

Aidel est présent sur le marché depuis plus de 25 ans. Malgré le contexte de crise, Aidel se porte bien grâce à la diversité de ses clients. Entre les administrations, les très petites entreprises et les multinationales la société et son logiciel de base Superdoc a toujours une demande.

Le salon Documation 2013 est l’occasion de montrer que leur solution évolue. Aidel met en avant son offre d’accompagnement Supremia. Celle-ci permet de répondre à tout type de projet de gestion d'information (informatisation d'un centre de documentation, espace de veille partagée, gestion de photos, etc). C’est une solution « complète » de partage, avec une « facilité d’utilisation » et « adaptable » aux différents besoins.

Aidel rencontre les responsables de projet pour mettre en place un suivi individualisé qui va pouvoir évoluer (différents outils vont être proposés et la mise en place va se faire sur plusieurs niveaux). Parmi les principaux outils Aidel déploie un portail d’information, une application de gestion et l’hébergement des applications. Cette année Aidel renforce ces fonctions liées à la collecte des informations.   

Les podcasts d'Archimag
La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.