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Facebook reste le réseau social préféré des dirigeants français, très très très loin devant Twitter

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    57% des patrons de moins de 34 ans consultent Facebook au moins une fois par jour, 12% Linkedin et 6% Twitter. Les proportions tombent à respectivement 17%, 8% et 3% pour les dirigeants de 45 à 54 ans. (Pixabay/FirmBee)
  • Ce sondage étonnant révèle qu'un patron sur deux serait totalement absent des réseaux sociaux.

    Le sondage publié cette semaine par Opinionway pour Corpcom a de quoi surprendre : selon lui, Facebook serait le réseau social préféré des dirigeants français de PME/ETI, loin devant LinkedIn, Viadéo, Google+ et surtout Twitter ! Et c'est peu dire, puisque 27 % des 302 patrons ayant répondu à l'étude affirment surfer sur Facebook au moins une fois par jour et 49 % au moins une fois par semaine (pour un usage à la fois professionnel et personnel pour un patron sur deux).

    Du côté de LinkedIn, Seuls 10% des dirigeants français affirment s'y rendre au moins une fois par jour, et 35 % au moins une fois par semaine, en grande partie pour un usage professionnel. Un patron sur deux n'y aurait pourtant jamais mis les pieds.

    82 % des patrons ne se fréquentent jamais Twitter

    La surprise vient de leur fréquentation du réseau social Twitter, qui semble ne pas rencontrer l'adhésion des dirigeants : seuls 6 % d'entre eux déclarent s'y rendre au moins une fois par jour et 14 % au moins une fois par semaine. 38 % d'entre eux gazouillent pour un usage exclusivement personnel, 9 % pour un usage professionnel et 53 % pour les deux. Incroyable, 82 % des patrons ne s'y seraient jamais connectés !

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    Saison 2, Ép. 7 - Diplômé de l'École nationale des chartes et de l'Institut national du Patrimoine, Bruno Ricard est conservateur général du patrimoine. Il est également directeur des Archives nationales depuis 2019. Au micro de Bruno Texier, il revient, pour les podcasts d'Archimag, sur les grands projets des Archives nationales. Mais avec le développement exponentiel de l'intelligence artificielle, une première question se dessine : les archivistes doivent-ils craindre pour leur métier face à la puissance de l'IA ?
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