Le secteur numérique concentre à lui seul 7 % des sommes allouées au plan de relance post-Covid 19. Un niveau de soutien inédit qui se fera aussi bien au profit des entreprises privées que du secteur public.
Des défenseurs des droits de l'homme proposent une plateforme documentaire qui recense les violences et les crimes de guerre commis par toutes les parties impliquées dans la guerre en Syrie.
Dans un rapport remis à François Hollande, le président du musée du Louvre propose un plan d'actions destiné à lutter contre "le vandalisme idéologique" qui vise les bibliothèques, les archives et les institutions culturelles.
Les autorités irakiennes lancent un vaste chantier de numérisation afin de préserver un patrimoine considéré comme "impie" par les combattants de Daech.
La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.