Publicité

Cyllene dévoile son projet de cloud souverain

  • cyllene.jpg

    Cyllene dévoile son projet de cloud souverain
    Cyllene s'adresse aux grands compte, aux entreprises de taille intermédiaire mais aussi aux marchés publics (Jordan Harrison)
  • Le prestataire met en avant la localisation française de l'hébergement et du traitement des données qui lui sont confiées.

    Alors que la question de souveraineté numérique revient sur le devant de la scène, Cyllene dévoile son projet de cloud souverain à destination des organisations françaises. L'offre de l'éditeur s'adresse aux grands compte, aux entreprises de taille intermédiaire mais aussi aux marchés publics.

    Le prestataire met notamment en avant une localisation et un traitement des données en France au sein de ses propres centres de données. "Nous sommes fiers de pouvoir proposer aux industries nationales des architectures Datacenters 100% françaises" explique Olivier Morel, directeur des alliances stratégiques et partenaires ; "avec Alter, le Cloud de Cyllene, nous sommes à même de répondre aux enjeux de sécurité et de souveraineté
    souvent considérés comme un frein au développement du cloud". 

    Iso 27001, PCI DSS, et HDS

    La prestation repose sur les serveurs Atos BullSequana S, fabriqués et assemblés dans l’usine du groupe à Angers. L'hébergement et le traitement des données ont par ailleurs reçu plusieurs certifications : ISO 27001 (norme internationale de sécurité des systèmes d'information), PCI DSS (norme de sécurité de l’industrie des cartes de paiement) et Hébergement des données de santé (HDS). 

    La certification HDS de l'Afnor se déroule en plusieurs étapes : audit documentaire (revue du système d'information afin de déterminer sa conformité aux exigences du référentiel de certification), audit sur site (conformité technique et organisationnelle), audit de de suivi (tous les ans) et de renouvellement (tous les trois ans).
     

    À lire sur Archimag
    Les podcasts d'Archimag
    La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.
    Publicité

    2025-Catalogue Dématérialisation-Serda Formation