L'Association des archivistes français lance le "mois de l'engagement"

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    Le mois de l'engagement de l'AAF peut se faire sous forme de vidéo, de visite ou de webinaire (@ubahnverleih)
  • L'AAF propose aux professionnels des archives de valoriser leur travail et leur patrimoine auprès du grand public à travers des actions tout au long du mois de mai.

    Faute de pouvoir organiser son traditionnel Forum des archivistes, l'AAF propose aux professionnels des archives d'aller au devant des Français. L'Association des archivistes français lance le "mois de l'engagement" et invite ses adhérents à valoriser leur travail et leur patrimoine. "Cette action peut être portée par un groupe régio­nal, un groupe de tra­vail, une sec­tion, un ou plu­sieurs ser­vi­ces d’un même ter­ri­toire…" explique l'AAF.

    Plusieurs pistes de réflexion sont mises à disposition des volontaires : transmettre est-il dans l'ADN des archivistes ? Etre archiviste, un métier, une passion ? S'adapter, pourquoi, comment et jusqu'où ? Ces actions peuvent prendre la forme d'une vidéo qui sera diffusée sur la chaîne YouTube de l'AAF, d'une journée d'étude, d'une visite ou d'une journée portes ouvertes.

    Visites et ateliers-découvertes

    D'ores-et-déjà, plusieurs événements ont été organisés ou verront le jour tout au long du mois de mai : des ateliers découvertes organisés par les Archives municipales d’Alençon engagées pour la mémoire collective, une visite découverte des Archives de la ville de Landerneau, une conférence "Se laver, connaître et habiter sa ville : la collecte des témoignages d’usagers des bains-douches municipaux à Lyon" par l’association LALCA (Laboratoire d'Architectes, Lutteurs, Chercheurs et Artistes)... Plus technique, le webinaire "Quand Vitam s’engage pour faciliter la collecte d’archives électroniques" aura lieu en ligne le 25 mai.

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    La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.

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