Avec l’IA générative, la gestion de l’information connaît une nouvelle étape de transformation. Plus particulièrement dans l’industrie, une gestion digitale et intelligente de l’information permet de répondre aux grands enjeux industriels suivants :
- Maîtriser les risques et gérer les différents aspects des processus et de la documentation qualité, très prégnante dans l’industrie
La mise à jour, les différentes versions d’un même document, la traçabilité des opérations, la formation technique des collaborateurs, jusqu’à la réussite des audit qualité. Une bonne gestion de l’information induit moins d’erreurs, moins de risques et donc moins de problèmes qualité ou d’arrêts des chaînes de production.
- Gérer les équipements et développer la maintenance prédictive
Le coût des temps d’arrêt dus à une maintenance inefficace peut pénaliser énormément les usines de production. Dans un secteur hautement compétitif comme celui de l’industrie, quelle entreprise peut se permettre de voir ralentir sa performance opérationnelle à cause d’une maintenance non planifiée ? L’industrie concentre désormais ses efforts sur la mise en place de la maintenance prédictive. Cette méthode s’appuie sur l’analyse de données pour prédire les défauts éventuels des équipements et des processus. La réparation est alors mise en oeuvre avant toute défaillance.
- Gérer la documentation associée au cycle de vie des produits, de la chaîne d’approvisionnement jusqu’à la vente
Cette documentation doit être transmise à tout l’écosystème de l’entreprise, des entreprises clientes jusqu’aux consommateurs, en passant par les revendeurs/distributeurs et les agences marketing. Dans ce contexte, l’automatisation joue un rôle déterminant. Elle peut, en effet, aider les entreprises industrielles à aborder les nombreux défis auxquels le secteur est confronté. Qu’il s’agisse de respecter le time-to-market, de suivre et maîtriser la chaîne d’approvisionnement, de gérer les pénuries de main-d’oeuvre et de compétences, de réduire les coûts d’exploitation et les erreurs, ou encore d’attribuer aux opérateurs existants des activités d’amélioration à valeur ajoutée.
- Faciliter les échanges en France, au sein de l’Union européenne et à l’étranger
Pour cela, il faut disposer d’une gestion numérique de l’information qui permet de répliquer les processus corporate dans différentes régions, dans différents pays. D’autant que les exportations hors Europe viennent encore ajouter une complexité documentaire (normes spécifiques aux pays, douane, etc.).
- Renforcer la gestion du cycle de vie des contrats (CLM)
Avec l’établissement des documents, leurs avenants, la prise en compte des SLA (accord de niveau de services), les incidents fournisseurs, les réclamations fournisseurs, etc.
- Pouvoir vendre sur de nouveaux marchés et renforcer la vision à 360° de tout son écosystème : fournisseurs, sous-traitants, partenaires, auditeurs, autorités locales. Il faut donc avoir des outils numériques adaptés pour pouvoir répondre rapidement et simplement au défi d’une implantation nationale aussi bien qu’internationale.
- Mieux préparer et réussir ses audits
Grâce à une information disponible en temps réel et à jour.
- Un accès facile en mobilité
Nécessaire aujourd’hui pour les collaborateurs en télétravail ou itinérants, mais aussi les forces de travail présents sur les sites de production.
- Une approche transversale de l’information
Fini les silos de documents numériques impossible à partager et cloisonnés au sein des différents services et systèmes. Toutes les données sont injectées dans une plateforme centrale s’appuyant sur un système intelligent de métadonnées pour une catégorisation et une récupération rapides. Le tout avec un contrôle de version, des pistes d’audit et des paramètres d’autorisation avancés pour minimiser les risques d’accès non autorisé et de perte de contenus.
