La BnF lance un appel aux dons pour la rénovation de la Salle Ovale

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    La Salle Ovale du site Richelieu de la Bibliothèque nationale de France (© Jean-Christophe Ballot / BnF)
  • La Bibliothèque nationale de France espère recueillir 500 000 euros avant la fin de l'année pour rénover la splendide Salle Ovale du site Richelieu. Les citoyens sont invités à faire un don ou à adopter une pièce de mobilier afin de financer sa restauration.  

    Surnommée "le Paradis ovale", la salle ovale du site Richelieu de la BnF affiche d'impressionnantes dimensions :43,70 m de longueur, 32,80 m de largeur, 18 m de hauteur. "Un enchantement de mosaïques, de dorures, de peintures décoratives, de décors peints et un mobilier unique" souligne-t-on à la Bibliothèque nationale de France. Mais ce patrimoine prestigieux est aujourd'hui affecté par de de nombreuses dégradations : peinture craquelée, mosaïque noircie, dorure écaillée...

    Une rénovation complète de la Salle Ovale est apparue indispensable. Son coût : 3,8 millions d'euros pour des travaux qui dureront quatre années.

    Deux modes de contribution

    La Bibliothèque nationale de France fait appel à la générosité de tous (particuliers et entreprises) pour financer une partie de ces travaux et espère collecter 500 000 euros d'ici la fin de l'année 2016. Deux modes de contribution sont mis à la disposition des donateurs : le don à partir de 20 euros (soit 6,8 euros après déduction fiscale) et l'adoption d'un meuble ou d'un élément architectural de la Salle Ovale.

    42 lampes peuvent ainsi être adoptées moyennant 1 000 euros ainsi que 100 tables de lecture en chêne ciré moyennant 2 000 euros. Les plus généreux pourront opter pour l'adoption de colonnes en fonte pour un coût unitaire de 6 000 euros.

    Outre la préservation d'un lieu patrimonial unique, tous les donateurs qui le souhaitent seront mentionnés sur le site www.bnf.fr et sur les grilles de l'enceinte du site Richelieu de la Bibliothèque nationale de France.

     

    Pour participer au financement de la rénovation de la Salle Ovale, c'est ici !

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    Commentaires (1)

    • Portrait de dracula

      is this a joke ?

      oct 27, 2016
    Les podcasts d'Archimag
    La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.

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