Une vaste collecte de vidéos, de messages postés sur les réseaux sociaux et de photographies a été lancée afin de constituer "une base de données de la mémoire".
Cinquante ans après la guerre qui a opposé l'Etat hébreu à ses voisins égyptien et syrien, les Archives d'Etat israéliennes publient 3 500 dossiers d'archives en accès libre.
Le nouveau bâtiment de 45 000 mètres carrés va abriter plus de quatre millions d'ouvrages répartis sur onze étages. Il ouvrira ses portes au public à la fin du mois d'octobre.
La Cour suprême israélienne a estimé qu'un ensemble documentaire composé de lettres et de manuscrits de l'écrivain devaient rejoindre "un sanctuaire littéraire et culturel".
La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.