Un nouvel accès pour les archives du Gouffre de Padirac

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    Page d'accueil de la Padiracothèque (www.padiracotheque.com)
  • La documentation relative à la célèbre cavité naturelle est désormais accessible via la plateforme "Padiracothèque" qui propose plus de 1 500 documents produits entre 1889 et aujourd'hui.

    Découvert en 1889 par Edouard-Alfred Martel et ouvert au public il y a plus de 130 ans, le Gouffre de Padirac (Lot) est une cavité naturelle de 33 mètres de diamètre et de 75 mètres de profondeur. A son extrémité, il ouvre les portes d'un voyage souterrain pédestre et navigable de 2 km. En plus d'un siècle, il a accueilli plus de 26 millions de visiteurs.

    Aujourd'hui, il est possible d'accéder au patrimoine documentaire consacré à ce monument naturel de la vallée de la Dordogne. La « Padiracothèque » du Gouffre de Padirac fait peau neuve et propose plus de 1 500 documents accumulés de 1889 à nos jours. "Accessible à présent dans une toute nouvelle version plus esthétique et facile d’utilisation, elle regroupe d’innombrables contenus : photographies, affiches, dessins, cartes postales, extraits de journaux, de livres, plans, correspondance…" expliquent les responsables de la plateforme.

    Tuiles interactives

    L'interface de la Padiracothèque a été revue de fond en comble et se présente sous forme de tuiles interactives. L'internaute peut ainsi naviguer par thématiques (les premières expéditions, le découvreur Edouard Alfred Martel, le restaurant troglodytique, la rivière souterraine, Le Grand Escalier…) ou bien découvrir les nouveautés comme les reportages photos. Chaque photographie est enrichie d'une notice descriptive et peut être téléchargée ou enregistrée (après création d'un compte gratuit).

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    La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.

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