Les portails culturels apparaissent comme des vitrines prestigieuses et incontournables pour les collectivités et l’État. Adossés à une offre éditoriale en constante évolution, ils proposent des contenus issus d’institutions aussi variées que les bibliothèques, les musées et les archives. Ils semblent également préfigurer une convergence – relative – des métiers de l’infodoc.
Les portails culturels apparaissent comme des vitrines prestigieuses et incontournables pour les collectivités et l’État. Adossés à une offre éditoriale en constante évolution, ils proposent des contenus issus d’institutions aussi variées que les bibliothèques, les musées et les archives. Ils semblent également préfigurer une convergence – relative – des métiers de l’infodoc.
il n’aura fallu que quelques années pour assister à la multiplication de portails culturels. Villes, communautés urbaines, régions et État en sont à l’origine d’un nombre considérable. Pour exemple, celui du ministère de la Culture, affichant l’ambition de recenser l’ensemble des ressources numériques nationales. Du côté des municipalités, citons pêle-mêle Lille, Bourg-en-Bresse, Angoulême, Dole, Grenoble, Lyon, avec des ressources de plus en plus étoffées… Quant aux régions, elles se dotent progressivement de ce type desite, tout comme certaines entreprises désireuses de valoriser leur patrimoine
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