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Quand une startup française propose mieux qu’Office 365

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    CEO-Vision SAS propose, en effet, une alternative avec la solution GoFAST : une plateforme basée sur les technologies Open source les plus reconnues, avec un hébergement Onpremise (dans le datacenter du client).
  • Même si elles s’en défendent, les collectivités et administrations françaises sont encore pieds et poings liés aux outils Microsoft, notamment Office et Sharepoint. Elles auraient pourtant tout intérêt à regarder ailleurs. Tant sur le plan financier que fonctionnel.

    [AVIS D'EXPERT] Microsoft obligera ses clients Pack Office à souscrire à l’abonnement Office 365 SaaS d’ici 2020. En effet, Microsoft souhaite fermer l’accès aux services Office 365 aux utilisateurs non abonnés (a minima Office 365 Pro Plus), même s’ils ont acheté le pack office qui comprend actuellement ces services. Ainsi, les utilisateurs d’Office 2010, Office 2013 et (certainement) Office 2016 n’auront plus accès aux services d’Office 365 à partir d’octobre 2020.

    Le passage à Office 365 soulève donc plusieurs questions.

    Un mode de facturation qui devient récurrent et imprévisible

    Même s’il s’agit d’un mode de distribution de plus en plus utilisé (le SaaS), passer à Office 365 déclenche des coûts récurrents alors que de nombreuses organisations achetaient le pack Office et l’amortissait à leur rythme. Avec Office 365, les coûts deviennent réguliers et, dans de nombreux cas, ils risquent même de s’envoler. L’organisation reste à la merci des changements de politique tarifaire de l'éditeur (comme celui annoncé pour 2020).

    Une confidentialité moins maîtrisée

    Beaucoup d’organisations fonctionnent avec des licences Office et un serveur de fichiers hébergé en interne. Le passage à Office 365 impose de stocker ses données dans les datacenters de Microsoft (hors France). Par ailleurs, les flux transitant entre les locaux et les datacenters, il y a un réel risque « d’interception ». La guerre économique en cours actuellement montre qu’il ne s’agit plus de science-fiction, mais de pratiques avérées perpétrées par des concurrents ou même des États.

    Des besoins en ressources réseaux non négligeables, une fiabilité liée à celui-ci

    Comme tout service Cloud, l’expérience utilisateurs dépend de la qualité et de la fiabilité du réseau. Or, selon une étude de Zscaler, société spécialisée dans la sécurité du Cloud, c’est un des plus grands défauts d'Office 365. Pour bon nombre d’organisations, le déploiement de la solution Microsoft s’est avéré délicat, car elles avaient sous-estimé le trafic généré. Ainsi, 70 % des organisations ayant déployé la suite Office en Saas font aujourd’hui face à des problèmes de réseau hebdomadaires et pour un tiers d’entre elles, les difficultés sont quotidiennes. « Les infrastructures existantes (telles que les pare-feux et les proxys) sont conçus pour les sessions à courte durée de vie, issues des navigateurs, et peuvent être rapidement submergées par les connexions persistantes d’Office 365 » indique Zscaler, dans son rapport. Réseau coupé = fin de l'accès aux documents, à l’édition en ligne et à toutes les autres fonctionnalités d’Office 365. L’organisation passe à l’arrêt complet.

    Ergonomie générale insuffisante et risque de rejet utilisateur

    SharePoint est connu pour sa complexité d’administration, mais c’est l’ensemble des services Office 365 qui sont compliqués à maîtriser. L’offre comprend beaucoup de fonctionnalités, mais celle-ci sont surtout des applications juxtaposées les unes aux-autres, sans réelle intégration. Elles perdent ainsi rapidement les utilisateurs.

    Étendre Office 365 devient rapidement coûteux

    Le tarif par utilisateur/mois appliqué à Office 365 est aussi lié aux applications choisies, ce qui rend ce coût exponentiel dès lors que l’organisation se développe, ou souhaite donner accès à ses partenaires ou clients. Etendre Office 365 devient alors compliqué et impacte l’ensemble du process de « digitalisation » et les objectifs d’optimisation du travail collaboratif.

    Peu d’ouverture et risque de réversibilité

    Le respect de normes ouvertes et l’interopérabilité n’est pas le point fort de Microsoft. Les standards de gestion documentaire comme CMIS sont inexistants, ce qui empêche la réversibilité ou l’intégration avec ses outils métier. Une fois abonnée, comment l’organisation peut-elle en sortir, récupérer ses contenus avec leurs métadonnées ?

    Une alternative « Made in France » existe

    La société française CEO-Vision SAS propose, en effet, une alternative avec la solution GoFAST : une plateforme basée sur les technologies Open source les plus reconnues, avec un hébergement Onpremise (dans le datacenter du client).

    La version 3 sortie il y a peu, regroupe une Suite Office Collaborative compatible MS-Office fonctionnant dans un navigateur et permettant de co-éditer en simultané, mais aussi une véritable GED Alfresco, un moteur de workflows BonitaSoft, une messagerie instantanée, un outil de visioconférence et de nombreuses autres fonctionnalités, dont un moteur de recherche extrêmement puissant. Et contrairement à Office 365, GoFAST est simple à prendre en main et tient compte des retour utilisateurs dans sa conception et son évolution.  

    L’hébergement Onpremise permet par ailleurs de répondre aux problématiques citées plus haut : problème de bande passante et dépendance totale d’internet, confidentialité/sécurité… De même, l’organisation n’est plus dépendante des limites de stockage qui caractérisent plusieurs offres chez Microsoft (en dessous de E3).

    Basé sur la taille de l’organisation, l’abonnement GoFAST est dégressif. Il peut revenir à moins de 3€/utilisateur/mois avec extranets illimités, en opposition à Office 365 qui a un coût souvent supérieur à 12€. En plus des mises à jour, l’abonnement GoFAST comprend la supervision applicative et l’accès au support utilisateur.

    Enfin, il s’agit d’une technologie développée en Europe et même en France. CEO-Vision SAS est basée en Haute-Savoie et est parvenue à développer cette offre unique en réunissant des composants issus des 4 coins du monde. Pari réussi, puisqu’aujourd’hui plusieurs grands comptes privés et publics ont adopté GoFAST (voir les références).

    Christopher Potter 
    Président de CEO-Vision S.A.S

    CPotter.jpgChristopher Potter a créé le 1er site Internet boursier en France en 1996, puis la 1ère banque privée en ligne Suisse en 1998 et a été jusqu'en 2009 responsable des plateformes Internet de bourse du Groupe Crédit Agricole. Ses 12 années passées dans le secteur bancaire et l'expérience acquise dans le domaine des systèmes informatiques lui ont permis d'identifier les faiblesses des outils utilisés dans la majorité des organisations. Le constat qu'aucun outil n'est parfait et la certitude que l'Open Source est le modèle à suivre l’ont ainsi poussé à conceptualiser une technologie collaborative et de GED innovante avec une expérience utilisateur unique. Il a alors donné naissance à la plateforme collaborative GoFAST, basée sur le meilleur de l'Open Source. Son ambition : offrir une alternative européenne sérieuse à Office365/Sharepoint et Google Docs/Drive afin d’améliorer la gestion de l'information et la collaboration au sein des organisations. GoFAST permet, en effet, d'éradiquer le chaos lié à la sur-information et à la dispersion des contenus (messagerie, serveurs de fichiers) et d’augmenter la productivité de l'organisation.

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    Commentaires (3)

    • Portrait de Arouna

      cet article comporte énormément de contre vérités sur Office 365 et risque d'induire les consommateurs non avertis (surtout les PME et collectivités locales) à faire des choix erroné. Un exemple de contre vérité: Microsoft a ouvert 2 data centers en France. La vision de la collaboration présenté dans cet article date du début des années 2000. Le cloud et la mobilité sont une réalité pour toutes les entreprises aujourd'hui. Avec Office 365 Chaque utilisateur peut -installer Office sur 5 appareils. -disposer d'un espace de stockage individuel de 1000 giga octets de données (1To) -accéder à ses documents Office partout où il y a une connexion internet. -l'entreprise bénéficie d'une plateforme intelligente et la sécurité la plus achevée Etc... la liste des avantages est très longue Pour l'entreprise, le coût est totalement maîtrisé. L'argument de vente de la solution française n'est pas suffisant.

      juil 09, 2017
    • Portrait de SriBacchus

      Article impressionnant! Sur la forme: je pensais que la mention "publi-information" était de rigueur pour le contenu à visée commerciale. Surtout que là... Sur le fond: apparemment le seul espoir des startups françaises est la calomnie, à lire ce remugle coprologique de dernière catégorie. Félicitations Monsieur Potter, vous discréditez en un seul torchon publicitaire tout le travail accompli par votre équipe, sans jugement de ma part sur la qualité de celui-ci. Je ne vais même pas me donner la peine de dresser la liste des contrevérités frôlant le mensonge pur et simple, ni m'apesantir sur l'aspect révolutionnaire (il y a 10 ans?) de la suite d'outils proposés par cet éditeur peu scrupuleux. Quand à vous Archimag vous m'intéressez. Apparemment vous publiez sans discernement tout ce qu'on vous envoie... J'attends avec impatience MON heure de gloire quand vous publierez sur votre homepage mon prochain communiqué de presse annonçant que le tribunal de l'honnêteté intellectuelle impose à Christopher Potter le port à vie d'un costume de (...), et l'ajout de sa photo et de cet article comme exemple de la définition de "délire hallucinatoire" dans les dictionnaires. Enfin, Monsieur Potter, vous comprendrez certainement l'expression "self-delusion"?

      juil 09, 2017
    • Portrait de Simon Mayers

      The changeover to Office 365 seem to have many inconvenient, especially it less controlled confidentiality, it effects to the database of businesses. <a href="https://driving-directionsmaps.com/">driving directions</a>

      juil 12, 2017
    Les podcasts d'Archimag
    Rencontre avec Stéphane Roder, le fondateur du cabinet AI Builders, spécialisé dans le conseil en intelligence artificielle. Également professeur à l’Essec, il est aussi l’auteur de l’ouvrage "Guide pratique de l’intelligence artificielle dans l’entreprise" (Éditions Eyrolles). Pour lui, "l’intelligence artificielle apparaît comme une révolution pour l’industrie au même titre que l’a été l’électricité après la vapeur".
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