Publicité

Lex Persona change de nom et devient Goodflag

  • david_coridun_goodflag.jpg

    Lex-Persona-change-nom-devient-Goodflag
    David Coridun, Directeur général de Goodflag (Goodflag)
  • Le spécialiste de la signature électronique repense son identité afin de la rendre "plus moderne et plus en adéquation avec les attentes de toutes les entreprises".

    Cela fait  plus de vingt ans que Lex Persona figure parmi les acteurs de la signature électronique. L'année 2025 marque un nouveau positionnement pour l'entreprise qui a décidé de changer de nom pour devenir Goodflag. "“Avec cette nouvelle identité, nous aspirons à renforcer notre position de référence en France et ainsi devenir le leader français de la signature électronique" explique David Coridun, Directeur général de Goodflag.

    Jugeant son image "trop institutionnelle", l’entreprise auboise espère devenir "plus accessible, plus moderne et plus en adéquation avec les attentes de toutes les entreprises."

    Triplement du chiffre d'affaire d'ici les quatre prochaines années

    Au-delà du changement de nom, l'éditeur se fixe également d'importants objectifs de croissance. Goodflag prévoit de recruter 20 nouvelles personnes sur quatre ans qui viendront renforcer des effectifs estimés aujourd'hui à 40 salariés. Alors que le marché de la signature électronique est particulièrement prometteur, la société entend tripler son chiffre d'affaires d'ici les quatre prochaines années et vise une croissance moyenne minimum de 20% pour dépasser les 10 millions d'euros de chiffre d'affaire.

    Fondée en 2005, Goodflag propose des solutions de signature électronique couvrant les 3 niveaux de signatures électronique eIDAS. La société est notamment certifiée ISO 27001:2017 et HDS (Hébergeur de Don Santé à caractère personnel) et labellisée FnTC CEV génération et vérification de 2D-Doc.

    À lire sur Archimag
    Les podcasts d'Archimag
    La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.
    Publicité

    2025-Catalogue Dématérialisation-Serda Formation