Documation 2010 - Spigraph s'européanise

Daniel Chautard, dirigeant de Spigraph PB

 

«L'activité connait une croissance à deux chiffres », se félicite Daniel Chautard, dirigeant de Spigraph, une société spécialisée dans la distribution et les services autour des scanners. Fort de cette dynamique, Spigraph se développe et vient d'ouvrir un bureau à Stockholm. Une ouverture qui suit celle de trois bureaux à Tunis, Alger et Casablanca. «L'objectif est d'atteindre en quelques années une dimension européenne », confirme Daniel Chautard.
Le périmètre couvert par la société reste inchangée. Outre la distribution, Spigraph propose des services de maintenances et des logiciels. «Les logiciels proposés sont spécialisés sur toutes les étapes de traitement de l'image. Et ne touchent pas aux étapes suivantes comme la GEDi ou la LADi », souligne Daniel Chautard.
 
Stand A11
 

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La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.