i-expo 2013 - Focusmatic met le big data, la business intelligence et la sémantique au service du marketing

Amirhossein Malekzadeh et Renaud Boutet, cofondateurs de Focusmatic. CJ/Archimag

 

Créée il y a seulement un an, Focusmatic fait partie de la dizaine de start-up en vedette de cette nouvelle édition d’i-expo.

Créée il y a seulement un an, Focusmatic fait partie de la dizaine de start-up en vedette de cette nouvelle édition d’i-expo. Lancée par trois associés « incubés » au sein de l’école d’ingénieurs Telecom ParisTech, cette toute jeune entreprise a développé une plateforme d’analyse de grands volumes de données issus du web et des réseaux sociaux afin d’en extraire de la valeur marketing et commerciale, en répondant à trois grands besoins : 

La détection d’opportunités client en BtoC, tout d’abord, à travers la mise en place de filtres et d’analyses sémantiques sur les sources hétérogènes de la toile (réseaux sociaux, YouTube, Instagram, etc) appelées à être enrichies continuellement. La qualité client, ensuite, en appliquant cette détection sémantique aux lieux d’interaction des entreprises avec leurs clients et utilisateurs de leurs produits (forums, sites de communautés, réseaux sociaux, etc) afin de déterminer des tendances et des thèmes porteurs. Le lancement de produit, enfin, en opérant un suivi attentif de campagnes marketing.

C’est grâce à la complémentarité d’une analyse multidimentionnelle (business intelligence) poussée et d’une finesse sémantique (analyse de sentiments, classifications, reconnaissances d’entités), que Focusmatic souhaite « aller au delà de la simple analyse d’e-réputation, pour identifier des prospects et les classifier, explique Amirhossein Malekzadeh, son président ; nous permettons aussi d’identifier les points de propagation des messages et par là de comprendre qui sont les influenceurs, ce qu’ils disent ou encore de déterminer quand ils sont actifs ».

 

Les podcasts d'Archimag
La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.