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Grâce à l’appui d’un expert de la récupération de données sur bandes d’archives, Iron Mountain a installé en Seine-Saint-Denis un laboratoire de restauration de données à destination de ses clients professionnels. Une initiative qui fait suite à la volonté de l’expert des solutions de conservation et de gestion de l’information de fournir aux entreprises Françaises « une solution de proximité rassurante et pérenne ».
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« Enrichi de nouveaux équipements robotiques dans les prochains mois, nous pourrons bientôt proposer la lecture d’une gamme de bandes encore plus large et offrir ainsi une solution encore plus complète à nos clients et partenaires », annonce d'ores et déjà Blaise Tesson, responsable des opérations Data management chez Iron Mountain.
Un processus de restauration complet
Dans le détail, le laboratoire de restauration de données dispose d’équipements robotiques de pointe pour permettre à Iron Mountain d’identifier facilement le contenu des bandes. L’information requise par le client pourra ensuite lui être transmise sur le support de son choix (clé USB, disque dur externe, connexion sécurisée, etc.).
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S’appuyant sur une prestation personnalisable, les services de restauration de données se découpent en trois étapes :
- la phase d’identification de bande, pour savoir quelles bandes ont été sauvegardées sur quels serveurs et à quel moment ;
- la restauration de données, pour transmission de ces dernières au client ;
- la restauration de bandes archivées, intégrant le stockage hors site des bandes de sauvegarde.
De quoi garantir aux entreprises des économies de temps pour se recentrer sur leurs activités principales et une sécurité renforcée pour préserver leurs données.
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Guide pratique 57+58 :
Sécurité de l'information et archivage électronique + les durées de conservation
Offre couplée Guides pratiques n°57 + n°58 !
Aujourd’hui, pour sécuriser son information, il faut certes raisonner en cycle de vie de l’information, document vital et preuve, mais aussi en métadonnées ou journal transactionnel. Records management et archives ont pris acte de l’entrée de l’information dans l’ère de la trace. Il s’agit d’appréhender de nouveaux développements (blockchain, cryptographie) et défis (lutte contre la fraude documentaire, anonymisation des données personnelles, archivage dans le cloud). L’archivage électronique, pour le privé comme pour le public, doit pouvoir évoluer sans risque.
Ces deux guides pratiques (n°57 + n°58) vous permettent de disposer d'un état de l'art, de méthodes, de solutions et de toutes les durées de conservation pour chaque type de direction d’entreprises, services concernés, fonctions concernées et par type de dossiers. L’une des plus-values de ce guide réside dans ses nombreux tableaux de gestion qui recensent les durées de conservation de plus de 12 domaines (Guide n°58). A la fois sur des fonctions transversales (Ressources Humaines, Direction Générale…) mais aussi sur des métiers (Bancassurance, Santé…), c’est un outil indispensable pour tout gestionnaire de l’information. Ces informations existent également au format numérique – et sont mises à jour régulièrement – dans la Base de données des durées de conservation Archimag.