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OCLC : 50 ans de partage des connaissances

  • [PUBLI-INFO]​ 2017 est l’année du cinquantième anniversaire de l’Online computer library center. OCLC est une organisation mondiale, à but non lucratif, au service des bibliothèques. Skip Prichard, président et directeur général, se félicite du chemin parcouru.

    “C'est en 1967 que Fred Kilgour et ses collègues décidèrent que les bibliothèques pouvaient utiliser les nouvelles technologies pour améliorer l'accès à ce qu'elles avaient à offrir. Ils ont utilisé des ordinateurs centraux pour créer une coopérative, informatiser et mettre en réseau le catalogage des ressources bibliothécaires.

    16 000 membres dans 120 pays

    “50 ans plus tard, OCLC compte plus de 16 000 membres dans 120 pays, desservant des bibliothèques de tous types, traitant plus de 40 millions de demandes de recherche par jour, ce qui fait gagner un temps précieux aux bibliothèques.

    “Chaque enregistrement conservé et hébergé par OCLC peut être consulté dans le monde entier. En mai 2017, WorldCat comptait plus de 395 millions de notices et 2,5 milliards de titres. (...)

    “Le catalogage coopératif a peut-être été à la base de tout, mais ce qui a suivi a été une évolution du réseau pour apporter des gains d'efficacité dans le partage des ressources, la gestion des ressources électroniques, l'analyse des collections et d'autres fonctions de base de la gestion des bibliothèques.

    “À chaque étape, OCLC et les bibliothèques agissent de concert pour rendre la technologie plus efficace pour leurs communautés.

    montrer la voie

    “Comme de nombreuses personnes utilisent la bibliothèque pour accéder aux nouvelles technologies et à l'information, les bibliothécaires doivent montrer la voie pour chaque innovation. OCLC aide ses membres grâce à ses recherches de pointe, ses solutions créatives et sa capacité à faciliter la découverte et le partage à l'échelle mondiale. De plus, son histoire de 50 ans devrait se poursuivre pendant encore de nombreuses années, en maintenant le cap sur les nombreux défis auxquels font face les bibliothèques.”

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    La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.
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