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IoT : l'archivage des données en question

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    De nombreux fabricants d’objets connectés s’appuient sur des clouds internationaux ou français pour le stockage des données collectées. (natanaelginting/Freepik)
  • Faut-il, ou pas, encadrer légalement le stockage et l’archivage des données générées par l’internet des objets (IoT) ? La question divise en France et en Europe, où un règlement pourrait voir le jour prochainement.

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    Les conditions de stockage et d’archivage des données issues de l’internet des objets (IoT, pour « Internet of things » en anglais) ne sont pas perçues comme un enjeu par Yesitis, star montante de la fabrication d’objets connectés pour l’industrie. « Nous ne stockons que des informations issues d’objets communicants et ne sommes donc pas directement soumis au RGPD » (Règlement général sur la protection des données), indique Laurent Coussonnet, président de cette start-up clermontoise.

    « Yesitis a développé une expertise dans la sécurisation de ces objets et la gestion de leur traçabilité. Les identités attribuées aux objets ne sont pas directement rattachées à des individus. Mais elles sont uniques et impossibles à reproduire. » Toutes les données qui leur sont attachées sont transmises vers une plateforme sécurisée maison, hébergée sur un cloud, où elles peuvent être consultées par les opérateurs autorisés (clients, sociétés de maintenance, spécialistes de l’analyse des données ou de l’intelligence artificielle…).

    La sauvegarde des données, à une fréquence très rapprochée, est assez simple dans la mesure où il s’agit de fichiers nombreux mais peu volumineux. « Notre préoccupation à nous est de tout faire pour que les données ne puissent pas être interceptées par un tiers. »Stockage sur le cloudEntre autres exemples, Yesitis....
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