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Comme toutes les formes d’art, le jeu vidéo à l’incroyable capacité de nous faire voyager dans des univers parallèles. Nous pouvons incarner un chat dans une ville cyberpunk, un héros revisitant la mythologie nordique ou même un dieu de la guitare… Ces dernières décennies, le monde du jeu vidéo a connu de grandes évolutions.
Mais comment se façonnent ces univers oniriques, ces paysages fantasmagoriques ou très terre-à-terre ? Cette question rythme le travail de Marine Macq. Son amour pour le jeu vidéo, et surtout pour l’esthétisme qui l’entoure, lui fait prendre tour à tour le rôle d’autrice, de chroniqueuse, de youtubeuse, de galeriste, et même d’archiviste. Sa mission ? Mettre en avant les artistes de cette industrie.
Sortir du cadre universitaire
En 2012, elle débute une double licence d’Histoire de l’art et d’Information et communication à Rennes, sa ville natale. À la fin de ces trois années, Marine Macq entame un Master Histoire et critique des arts. « L’idée était de faire un mémoire de recherche sur les représentations du paysage dans le jeu vidéo », explique-t-elle.
