Documation 12 - Libellex mise sur les mémoires de traduction

François Brown de Colstoum, président de Lingua et Machina Archimag

 

Alimenter un site web en plusieurs langues, lire un blog en chinois, répondre à un courriel rédigé en anglais... Beaucoup d'organisations sont désormais confrontées aux problèmes du multilinguisme. C'est à ces enjeux que répond la société Lingua et Machina : "notre solution Libellex est une plate-forme de traitement multilingue d'aide à la traduction qui s'adresse aux professionnels mais aussi au grand public" souligne François Brown de Colstoum le président de Lingua et Machina.

Libellex fonctionne sur le principe des "mémoires de traduction" c'est-à-dire de traductions produites par l'entreprise au fil du temps. Chaque collaborateur peut donc traduire, rédiger ou lire dans une multitude de langues : français, allemand, chinois ou arabe. "Ce logiciel est désormais passé à maturité en particulier pour la langue chinoise qui est de plus en plus demandée par les entreprises qui travaillent avec le géant asiatique" précise François Brown de Colstoum.

Libellex a déjà été adopté par EDF, Michelin et les Editions Francis Lefebvre. Il peut être utilisé en mode SAAS ou installé en mode licence sur les postes de travail informatiques.

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La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.