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Elisabeth Gayon : la philosophie en héritage

 

la philosophie sert à tout à condition d’en sortir. C’est ce qu’a compris Élisabeth Gayon, qui, durant son adolescence, s’est jetée corps et âme dans l’étude des textes classiques et modernes : « La philosophie est une discipline rationnelle qui convient parfaitement à mon esprit logique et à ma part de doute. Mais j’ai dû me rendre à l’évidence : je suis mariée à un philosophe très brillant… et je suis un cran en dessous ». Agrégative, Élisabeth Gayon enseigna tout de même la philosophie pendant un an à Paris avant de compléter sa formation théorique reçue à Sciences Po par un DESS en information

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La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.