Tout membre d’une organisation, entreprise, administration ou autre est désormais appelé à rédiger pour le web. En effet, avec l’arrivée des systèmes de gestion de contenu, plus besoin de détenir des compétences techniques avancées, le rédacteur se concentre sur le contenu. Toutefois, bien souvent, alimenter un site web, revient à copier-coller un texte Word non prévu initialement pour le web. Or, l’écriture web recèle des spécificités à connaître et à appliquer !
Tout membre d’une organisation, entreprise, administration ou autre est désormais appelé à rédiger pour le web. En effet, avec l’arrivée des systèmes de gestion de contenu, plus besoin de détenir des compétences techniques avancées, le rédacteur se concentre sur le contenu. Toutefois, bien souvent, alimenter un site web, revient à copier-coller un texte Word non prévu initialement pour le web. Or, l’écriture web recèle des spécificités à connaître et à appliquer !
1. Lire sur l'écran
la lecture à l’écran serait 25 % plus lente que sur papier. Une étude Useit vient préciser ce phénomène : les lecteurs d’une page web ne lisent pas forcément moins vite, ils lisent moins. Le texte d’une page web doit donc être plus court que sur papier. En effet, l’étude indique qu’en moyenne les lecteurs d’une page web n’ont le temps de lire que 28 % du texte. Donc, moins la page comporte de texte, plus elle a de chance d’être lue en...
Cet article vous intéresse? Retrouvez-le en intégralité dans le magazine Archimag !
