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Conciliez vérification d’identité et navigation simplifiée

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    La réglementation européenne impose une phase de vérification d'identité afin de prévenir la corruption, le blanchiment d’argent ou la fraude fiscale. (Freepik)
  • Un Know Your Customer (KYC) consiste, pour une entreprise, à vérifier l’identité et l’intégrité de ses clients, le plus souvent au moyen de la collecte de documents d'identité. La réglementation européenne impose en effet cette vérification afin de prévenir la corruption, le blanchiment d’argent, ou la fraude fiscale. Dès lors, comment faire face à la fraude documentaire pour les organisations ? Quelles technologies permettent de détecter la fraude, de la prévenir et de l’empêcher ? Comment digitaliser, automatiser la vérification de l’identité et le processus KYC ? 

    La vérification des documents fournis par le consommateur durant son parcours digital n’est pas toujours maîtrisée par les organisations. Le risque de fraude est important : il peut coûter jusqu’à 5 % du chiffre d’affaires. La fraude documentaire recouvre deux types de fraudes :

    • La fraude identitaire consiste en l'utilisation frauduleuse de l'identité d'une autre personne dans le but d'obtenir des avantages ou des services. Cela peut se produire lorsque quelqu'un utilise les informations personnelles d'une autre personne, telles que son nom, son adresse, son numéro de sécurité sociale ou son numéro de carte de crédit, sans autorisation. La fraude identitaire peut ainsi être utilisée pour ouvrir des comptes de crédit ou effectuer des achats, entre autres.
    • La fraude à l'identité numérique fait référence à la même chose, mais dans le contexte d'identités numériques (comptes en ligne, identifiants de connexion, etc.). Elle se produit lorsque quelqu'un utilise les informations d'identification d'une autre personne pour accéder à des services ou pour effectuer des transactions en ligne.

    À RETENIR

    - Le contrôle de l'authenticité des documents doit être intégré au parcours client afin que ce dernier puisse par exemple apposer une signature qualifiée en cours de route. 
    - La reconnaissance automatique de documents (RAD) doit être mise en place et permettre à l’entreprise de récupérer facilement les informations fournies par un utilisateur (documents uploadés en ligne), sans qu’il n’ait à remplir par lui-même des formulaires papier ou en ligne - notamment dans les secteurs de la finance, assurance, ou RH.
    - Il faut un bon dosage entre :
    la création d’un chemin digital d’inscription détaillé, sécurisé, hautement qualifié, avec un faible risque d’usurpation d’identité.
    une expérience utilisateur (UX) simplifiée, qui doit intégrer le risques de fraudes et d’erreurs faites par l’utilisateur lorsqu’il exprime ses besoins en ligne. 

    COMMENT LUTTER EFFICACEMENT CONTRE LA FRAUDE ?

    Les organisations en ligne peuvent utiliser des mesures de sécurité telles que la vérification d'identité en deux étapes, la reconnaissance faciale et la biométrie pour détecter et prévenir la fraude documentaire et identitaire.

    Des outils de correction et d’extractions d’images sont de plus en plus utilisés afin d’utiliser rapidement et stocker de façon fiable les données provenant des documents électroniques d’un client. L’organisation doit se doter : 

    • d’outils de type Case management, c’est-à-dire de complétude de dossiers (ex. contrat de loyer, pièces d’identités) avec signature électronique demandée en ligne et envoi de notifications.
    • d’un coffre-fort numérique afin de pouvoir assurer un stockage sécurisé des documents signés électroniquement.

    Pour tout savoir sur les solutions existantes et lutter efficacement contre la fraude, téléchargez l'édition 2023 du Supplément Archimag entièrement dédié à cette thématique.  

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