L'Institut royal du Patrimoine artistique de Bruxelles a décidé de mettre gratuitement à la portée de tous les internautes ses collections photographiques.
L'Association belge de documentation a réuni à Bruxelles une centaine de professionnels de l'information-documentation pour rappeler leur rôle de vigie informationnelle à l'ère de l'infobésité.
Entendus dans le cadre d'une enquête sur la dégradation trop rapide des tunnels de la capitale belge, d'anciens responsables de Bruxelles Mobilité ont fait une révélation étonnante, provoquant l'hilarité de Twitter.
A l'instar des grandes capitales, Bruxelles met ses données publiques à disposition des internautes. Le portail opendata.bruxelles devra cependant accroître le nombre de jeux de données mis en ligne pour séduire le grand public.
La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.